Le présent récit s’est déroulé réellement il y a quelques semaines alors que je me présentais chez ma cliente afin d’honorer mon rendez-vous.

• Entrez jeune, cette fois-ci je ne vous proposerai pas un café.
• Je ne suis pas venu précisément pour cela mais pour vérifier l’achèvement des travaux réalisés
• Parlons-en, je suis très en colère après vous car rien ne fonctionne comme prévu, j’ai vraiment l’impression que vous m’avez prise pour une imbécile et je suis prête à faire intervenir l’huissier pour constater les dégâts
• L’huissier ? Vous n’y comptez pas, mes travaux sont conformes au devis signé.
• Venez ici vérifier par vous-même au dire de dire n’importe quoi, rien ne va vous êtes un voleur voilà tout.
• Oh hé un peu de respect tout de même chère petite madame.
• Du respect ?? Je vais vous montrer moi ce qu’est le respect. Vous méritez que je vous inflige une bonne leçon pour votre insolence.
• Les travaux sont conformes et j’exige le règlement immédiat du solde que vous me devez.
• Cher petit monsieur le règlement ici c’est moi qui l’impose et quand à ce que je vous dois cela se réglera au tribunal s’il le faut mais je ne paierai plus un centime.
• Mais madame…
• Vous pouvez en faire des « madame » vous devriez avoir honte d’escroquer une femme seule, mais vous êtes mal tombé, moi les petits voleurs je les mène à la baguette et s’il le faut je suis prêt à vous traiter comme vous le méritez. D’ailleurs c’est ça ou les tribunaux !
• C’est à dire ?
• A mon âge je n’ai aucun scrupule à vous flanquer une bonne fessée!
• Vous rigolez j’espère
• J’en ai l’air ?
• Mais, madame enfin…
• Tu as le choix ou bien tu prends une bonne punition méritée tout de suite ou je contacte mon avocat
• Pfff n’importe quoi vous délirez
• Des insultes en plus? Parfait tu l’auras voulu j’appelle immédiatement mon avocat et tu vas voir
• Non madame, je risque de me faire, surtout qu’en ce moment avec mon patron je n’ai pas intérêt à…
• Très bien alors il ne te reste plus qu’une seule alternative et tu sais laquelle à présent
• La fessée ? Mais vous voulez dire une vraie punition fesses nues?
• Et en travers mes genoux, tu peux me croire que tu vas la sentir passer, viens ici sale garnement, dis t elle en s’asseyant et me désignant ses genoux comme pour me faire entendre qu’il ne s’agissait certainement pas d’une plaisanterie.
• Fesses nues???
• Immédiatement !!!

Baissant fébrilement mon pantalon, je lui présentais mon séant nu en m’allongeant terrorisé en travers ses grosses cuisses. D’un ton sévère elle m’intima l’ordre de compter à haute voix, remontant d’une main ferme le pan de ma chemise et dégageant lestement mon sous-vêtement bien au bas de mes cuisses, laissant dégagée une vue sur mon intimité soumise.

Sans autre forme de procès la terrible fessée commença par de lourdes claques cuisantes et retentissantes alors que je comptais timidement chaque claquement qui s’abattait avec fracas. Je l’entendis me traiter de sale garnement et autres noms honteux ce qui ne fit qu’ajouter à la grande honte que je ressentais alors qu’une vive chaleur m’envahissait. Je me croyais tiré d’affaire au chiffre 100 alors qu’elle fit une pause et en profitait pour apprécier la rougeur de mon épiderme. Je sentis ses fortes mains saisir mes fesses à pleine poignée en les écartant pour ma plus grande peur de sentir un doigt s’y aventurer ce qui arriva et qu’à ma grande surprise j’accueillais sans broncher. Celui-ci s’aventura sur mon orifice offert qu’elle honora d’une ferme poussée qu’elle accompagna d’un rire moqueur suivi d’une question directive : « alors sale morveux , la leçon à été bonne ou faut-il que je poursuivre? »

• Oh oui madame, m’entendais-je dire réalisant que je ne répondais qu’à sa première question. Elle fit semblant de comprendre le contraire et poursuivi
• Parfait dans ce cas une bonne centaine supplémentaire fera l’affaire.

Les minutes qui s’en suivirent furent redoutablement percutantes et je m’en tirais avec un fessier brûlant et rouge vif dont elle se félicita. Je ne fis pas de même et me retirais honteusement sans demander mon reste. Je pensais qu’il s’agissait du solde de tout compte. Ce fût ma deuxième erreur.